Discours

Discours de la Directrice exécutive de l’ITC lors de la 51ème session du Groupe consultatif commun

24 novembre 2017
ITC Nouvelles
Discours prononcé par la Directrice exécutive de l'ITC, Madame Arancha González à l’occasion de la 51ème session du Groupe consultatif commun
OMC – Genève

Bienvenue aux travaux du Groupe consultatif commun.

Qu'il me soit permis de commencer par remercier le Directeur Général de l’OMC Azevedo et le Secrétaire Général de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED), Monsieur Kituyi pour leurs allocutions et le témoignage de leur motion de confiance en l’ITC pour sa capacité à mettre le commerce au service du bien de tous.

Je voudrais exprimer ma gratitude à l’ambassadeur Kebret Botora d’Éthiopie pour avoir présidé à la 50ème session du Groupe consultatif commun, et accueillir l’ambassadrice Frances Lisson d’Australie comme présidente de cette 51ème session.

Je félicite M. Albert Muchanga pour sa nomination comme Commissaire de l’Union africaine pour le commerce et l’industrie et je le remercie de s’être joint à nous aujourd’hui, ce qui constitue un signal clair de son désir de construire un partenariat durable entre l’ITC et l’Union africaine.

Enfin, je voudrais saluer la présence de S. E. Fatoumata Jallow Tanbajang, Vice-présidente et ministre des Affaires féminines de Gambie, de l’Honorable Dr Isatou Touray, ministre du Commerce, de l’industrie, de l’intégration régionale et de l’emploi, et de l’Honorable Amat NK Bah, ministre du Tourisme et de la culture, qui sont avec nous en ce moment important de l’histoire de Gambie. Nous avons tous le devoir d’autonomiser les Gambiens pour qu’ils puissent tirer parti des ouvertures économiques qui leur sont offertes pour faire du commerce un moteur de croissance, de création d'emploi et de consolidation de leur jeune démocratie.

Ce devoir rentre en droite ligne avec le mandat de l’ITC, qui est celui de transformer les ouvertures économiques en activités économiques effectives.

La réunion d’aujourd’hui a pour objectif d'informer sur les priorités de l’ITC pour les mois à venir. Mais elle porte aussi sur l’examen des travaux récents. Le rapport annuel que vous avez devant vous décrit comment l’ITC a développé le commerce pour le bien de tous en 2016.

Permettez-moi d’évoquer quelques-unes des réalisations de l’année dernière, et d’indiquer comment l’ITC se prépare à faire face aux défis à venir afin de concourir à l'atteinte des objectifs du Programme de développement durable à l'horizon 2030 des Nations Unies.

Forte demande en dépit des difficultés de financement ; focalisation sur les résultats et pays prioritaires

Les dépenses extrabudgétaires de l’ITC en 2016 se sont élevées à 48 millions de dollars, outre les 85,4 millions de dépenses liées à la prestation d’assistance technique, au renforcement des capacités et à la mise à disposition des informations de veille économique et commerciale. Ces chiffres sont inférieurs au record atteint en 2015, car certains partenaires financiers ont été contraints par des cas de force majeure à réaffecter leurs ressources ailleurs. Cependant, la demande de services de l’ITC est plus forte que jamais, avec des projets en perspective pour un montant de plus de 200 millions de dollars, y compris certains projets formulés pour répondre aux crises émergentes qui ont entraîné ces réaffectations.

La forte demande de nos clients n’est qu’un signe, mais il démontre à suffisance que les interventions de l’ITC font des retombées qui sont évidentes. C’est la raison pour laquelle, pour la première fois, nous avons travaillé pour mesurer et quantifier l’effet cumulatif de nos interventions. Le soutien de l’ITC en 2016 a résulté en un montant estimé de 685 millions de dollars d’exportations et d’investissements supplémentaires. C’est-à-dire environ 14 dollars d’exportations et d’investissements pour chaque dollar de financement extra-budgétaire reçu par l’ITC.

L’ITC mène des projets dont les retombées s'étendent bien au delà de leur durée. Une évaluation des projets financés par les Pays-Bas en Ouganda étendus de 2009 à 2012 a permis d’établir que les petits caféiculteurs associés aux projets ont rendu leurs gains plus durables en améliorant leurs pratiques agraires, la qualité de leurs produits ainsi que la commercialisation. Les revenus des ménages bénéficiaires en 2015 se sont élevés à presque trois fois ceux des ménages comparables.

Vous serez davantage informés cet après-midi sur les progrès réalisés concernant l'analyse des résultats et des retombées de nos interventions. Mais je voudrais vous assurer que nous ne nous reposons pas sur nos lauriers : l’ITC travaille à améliorer sa capacité à évaluer les projets et à intégrer les enseignements tirés des évaluations antérieures dans la formulation de nouveaux projets. Nous entendons privilégier les approches qui portent des résultats, et délaisser les non productives.

Outre ces efforts pour mesurer et maximiser les retombées, nous avons de façon croissante concentré notre attention sur les régions et communautés présentant un besoin de développement plus urgent.

L’année dernière, plus de 85 % de nos interventions par pays ont eu lieu dans nos pays prioritaires, c’est-à-dire les pays les moins avancés, les pays d’Afrique subsaharienne, les pays en développement sans littoral, les petits États insulaires en développement, les petites économies vulnérables et les États sortant d'un conflit. Plus de la moitié des entreprises que nous avons soutenues pour qu'elles deviennent plus compétitives ou qu'elles accèdent à des acheteurs internationaux étaient détenues et gérées par des femmes.

Mais en le faisant, nous avons également répondu à une forte demande d’autres régions du monde, notamment l’Amérique latine et l’Asie, en particulier l’Asie centrale, où nous avons étendu notre empreinte.

Le choix par l'ITC de doubler l'accent sur les pays du « milliard le plus pauvre » d’êtres humains et sur ceux « au bas de la pyramide » a pour effet la mise en œuvre des projets dans des environnements hautement défiants, entrainant la nécessité de contextualiser les interventions et signifiant une augmentation de risques ; mais le succès dans la réalisation de ces interventions étant source d'un plus grand retour sur investissement socio-économique. 

 

L’ITC est totalement aligné avec les objectifs mondiaux des Nations Unies

De ces pays et communauté dépend notre succès ou notre échec à éradiquer l’extrême pauvreté d’ici à 2030 : le premier objectif de développement durable.

Les objectifs mondiaux sont les objectifs de l’ITC. Ce sont les petites et moyennes entreprises qui vont générer la masse d’emplois nécessaires pour répondre à la croissance rapide de la population à travers le monde.

En améliorant leur compétitivité et en accédant aux marchés internationaux, les PME accroissent les revenus et réduisent la pauvreté dans les zones rurales qui constituent la tranche inférieure de la répartition des revenus. Et c’est ce qui justifie l’importance du commerce.

Si ces PME sont détenues et gérées par des femmes, les retombées seront une meilleure éducation et nutrition des familles . Lorsque ces PME génèrent des occasions d’emploi pour les jeunes, la pression migratoire diminue.

Lorsque les incitations commerciales sont alignées avec les incitations au respect de l’Environnement, la production et la consommation se font de manière responsable.

C’est de cela qu’il est question dans les OMD. C’est la raison pour laquelle l’ITC se focalise sur l’amélioration de la compétitivité et de l’apport de valeur ajoutée des PME, sur l’autonomisation des femmes et des jeunes et sur la promotion de la production et du commerce durables. C’est également la raison pour laquelle, comme vous l’entendrez cet après-midi, le prochain plan stratégique de l’ITC tournera autour des « Itinéraires de commerce pour 2030 ».

Les six domaines d'intervention de l’ITC sont déjà complètement alignés avec les dix OMD les plus pertinentes pour ses interventions, comme vous pouvez le constater en examinant le rapport annuel devant vous.

La structure opérationnelle de l’ITC est également déjà alignée avec ces objectifs pour concourir à leur réalisation.

Nous avons simplifié notre approche programmatique et développé un cadre logique intégral au sein de l’ITC, des théories de changement sous-tendant tous les programmes, les processus de conception des projets et le Laboratoire d'Innovations pour promouvoir des solutions et partenariats créatifs.

En 2016, nous avons continué à œuvrer dans le sens de la parité de genres à tous les niveaux. 42 % de notre personnel professionnel sont des femmes, et nous visons pour l’année prochaine un chiffre de 44 %. Les femmes représentent 52 % des personnes retenues dans les concours de recrutement à durée déterminée. La force de l'ITC, ses 313 membres de personnel provenant de 83 pays différents, témoigne de son engagement pour l’égalité des genres. Les OMD, ça commence en interne, après tout.

Faits saillants de 2016

Qu’il me soit permis de citer quelques faits marquant de l’œuvre de l’ITC en 2016.

La seconde édition du magazine phare de l’ITC, Perspectives de compétitivité des PME, a fourni un leadership d’opinion et une certaine analyse, cette fois-ci, sur la façon dont les décideurs pourraient mieux garantir que les normes et réglementations soient en faveur et non contre les PME.

Nos outils d’information commerciale continuent de faciliter et de rendre encore plus abordable le commerce pour les entreprises. Avec 600 000 utilisateurs enregistrés en 2016, ces outils ont facilité des transactions d’une valeur de 300 millions de dollars.

Nous avons ajouté une carte du potentiel à l’exportation pour assister les utilisateurs à cibler les secteurs et les marchés dans lesquels des ouvertures pour l’exportation restent inexploitées.

Conjointement avec l’OMC et le Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies, nous avons lancé ePing, un système d’alerte qui notifie les utilisateurs lorsque des pays annoncent des changements dans leurs normes et réglementations, afin de soutenir ces utilisateurs dans le processus d'adaptation aux changements.

Entre-temps, nos études de plus de 14 000 entreprises ont documenté des types de mesures non tarifaires qu’elles rencontrent dans leur fonctionnement quotidien. Cette démarche a conduit à des réformes politiques qui continuent de faciliter l'accès des PME aux marchés internationaux.

Nous envisageons la prochaine étape de la mise à disposition de l’information commerciale aux PME à travers la collaboration avec l’OMC et le CNUCED pour le lancement d’un « Bureau d’aide au commerce pour les PME », et la Conférence ministérielle de l’OMC vers la fin de cette année en Argentine. Ce « guichet unique » pour les PME permettra à ces dernières d’accéder d’un clic sur un bouton, à une quantité impressionnante de données commerciales, à la veille économique et commerciale et aux analyses connexes qui leur permettront d’améliorer leur agenda de compétitivité.

Sur le plan de la formation, l’Académie de commerce pour les PME a offert davantage de formations : 17 000 cours dispensés en fin 2016 avec une plus grande couverture géographique. À titre d'illustration, un cours pilote sur l’entrepreneuriat a été suivi par plus de 300 jeunes en Lybie, permettant de démontrer le potentiel entrepreneurial dans des États fragiles.

En 2016, nous avons conclu des partenariats avec la CNUCED, l’OMC et la Commission économique des Nations Unies pour l’Europe en vue de participer à la mise en œuvre de l’Accord sur la facilitation des échanges de l’OMC au niveau régional, notamment au sein de l’UEMOA et de la CEDEAO. Six pays que l’ITC a soutenus : l’Afghanistan, la République dominicaine, la Jamaïque, le Mali, le Sénégal et le Sri Lanka ont ratifié cet accord l’année dernière.

Nous avons apporté notre assistance à des institutions d'appui au commerce et aux investissements dans l’amélioration de leur performance et dans l’optimisation de leur rentabilité. Une étude des retombées des interventions de l’ITC menée par des chercheurs de l’Université de Genève publiée en 2016 montre que chaque dollar supplémentaire dépensé pour la promotion de l’exportation génère 87 dollars en exportations et 384 dollars en PIB.

L’ITC a œuvré dans le monde entier pour permettre aux PME d’ajouter de la valeur et de se connecter aux chaînes de valeur, depuis le secteur de la noix de coco aux Caraïbes à l’industrie de pashmina au Népal ou aux producteurs de miel en Zambie.

En Birmanie, notre soutien à l'État de Kayah, conjointement avec celui des Pays-Bas, a permis aux fournisseurs de services touristiques locaux de doubler leurs revenus depuis 2014.

Les projets de développement de secteurs ciblés dans les services informatiques et dans l’agriculture ont généré plus de 1 200 emplois au Bengladesh, au Kenya et en Ouganda.

Notre partenariat avec DHL Express, eBay, Alibaba et Sidley Austin a permis à un nombre croissant de PME de tirer parti du commerce en ligne. Notre « Caravane E-Commerce » en juillet dernier a permis à plus de 70 PME de Côte d’ivoire, d’Éthiopie, du Maroc, du Rwanda, du Sénégal et de Syrie de vendre des marchandises à des clients à Genève et à Zurich. Fait plus important, les boutiques éphémères ont permis à des entreprises de se forger une réputation, qui est si importante pour toute entreprise basée sur Internet, et de générer plus d’échanges en ligne.

L’autonomisation des femmes, des jeunes et des communautés pauvres pour le commerce reste au cœur de l’action de l’ITC. Nous avons permis à 600 000 femmes de se connecter à des marchés grâce à l’initiative SheTrades. Le réseautage entreprise-à-entreprise et l'application qui permet de le créer en appariant les entreprises sur la base des critères définis ont permis de générer des débouchés et des contrats commerciaux d'une valeur de 11 millions de dollars.

Nous avons soutenu les artisanes aux Îles Vanuatu pour qu'elles se réunissent et forment la première association nationale des exportatrices, qui offre son soutien pour l’amélioration de la production et des capacités entrepreneuriales.

Au Maroc et au Liberia, nous avons travaillé avec les jeunes entrepreneurs pour les assister à surmonter les obstacles commerciaux dans les secteurs d’exportation prometteurs.

L’Initiative de Mode éthique a continué à connecter les artisans des communautés les plus pauvres à l’industrie internationale de la mode. Les revenus des petits producteurs participant à ces programmes ont fait mieux que tripler en Haïti, et ont augmenté de 400 % au Burkina Faso et au Mali. La plateforme de l’initiative à Nairobi est maintenant florissante , sous une direction locale privée, ce qui démontre que les liens commerciaux forgés dans cette plateforme se sont consolidés sans soutien extérieur.

En continuant de cibler les communautés vulnérables, l’ITC a développé de nouvelles approches visant à se servir du commerce pour donner une chance aux réfugiés et aux déplacés internes de gagner des revenus. C’est ce que nous avons fait avec l’entrée de données et les services de traduction sur Internet assurés par les réfugiés au Sud de l’Ouganda, ainsi que la mode à caractère ethnique dans des camps de réfugiés au Burkina Faso.

Finalement l’ITC a promu le commerce Sud-Sud, de la vente de mangues du Kenya au Moyen-Orient à la promotion de nouveaux partenariats entre entreprises, entre les producteurs de textile tunisiens et les fournisseurs égyptiens. Nos deux plus grands projets Sud-Sud visent à stimuler la création de partenariats d’investissement et de commerce entre l’Afrique et les deux plus grandes économies émergentes, la Chine et l’Inde. Le projet de soutien au commerce et à l’investissement de l’Inde pour l’Afrique (SITA) de l’année dernière a permis l’émission de commandes de légumes pour une valeur de 15 millions de dollars d’Éthiopie, du Kenya et de Tanzanie, et des accords d’investissement dans le commerce d’une valeur de 60 millions de dollars en cours de négociation. Le Partenariat pour le commerce et l’investissement en Afrique (PIGA), initié par la Chine, encore en phase de délimitation, a déjà donné lieu à des discussions prometteuses entre les entreprises chinoises et des partenaires en Éthiopie, au Kenya, au Mozambique et en Zambie.

En perspective

De mon avis, on peut affirmer sans risque de se tromper que 2016, en dépit des défis, aura été une année réussie pour l’ITC. Une année au cours de laquelle nous avons pu traduire le soutien de nos partenaires financiers en améliorations notoires dans la vie des populations. Et une année au cours de laquelle nous avons investi dans les partenariats visant à faire répercuter les retombées de nos interventions bien au-delà de la portée directe de nos projets.

Je vous remercie, chers partenaires financiers, de placer votre confiance en l’ITC, en tant que levier de mise en œuvre de l’appui aux projets commerciaux pour une croissance durable et inclusive.

L’année 2017 a bien commencé. Nous avons lancé en février le Projet d’autonomisation des jeunes de Gambie, en partenariat avec le gouvernement gambien et l’Union européenne, à l’effet de renforcer les capacités, favoriser l’ajout de valeur et promouvoir l’entrepreneuriat. Ce projet vise à créer des emplois pour les jeunes, à offrir d’autres moyens de subsistance que les dangereuses entreprises migratoires. En mars nous avons lancé l’initiative SheTrades au Rwanda, et en mai en Colombie. En mai également, nous avons signé un accord de coopération avec la Chine en vue de soutenir les PME pour leur permettre de tirer parti de l’initiative « Une ceinture, une route ». Le mois dernier, nous avons conduit la famille des Nations Unies à la célébration de la première journée internationale des MPME à Genève et à New York.

Très prochainement en septembre, le Forum du commerce pour le développement durable (T4SD) réunira les acteurs des secteurs public et privé aux fins de formuler des suggestions concrètes pour la promotion de chaînes de valeur durables. La prochaine édition des Perspectives de compétitivité des PME s’attardera profondément sur les accords commerciaux régionaux et sur les mesures que les décideurs politiques et les entreprises peuvent adopter pour permettre aux PME de bénéficier de l’intégration régionale. Et le Forum mondial pour le développement des exportations, qui se tiendra en Hongrie en octobre, se focalisera sur la démarche pour rendre le commerce profitable aux 99 %. Je vous invite tous à y prendre part.

L’année dernière, j’ai dit que des nuages assombrissaient l’horizon de l’ITC. Si cette situation s’est améliorée, je me dois néanmoins de réitérer l’importance d’un financement durable et prévisible, y compris ces financements non affectés qui nous permettent d’investir dans l’innovation et de nous adapter aux mutations de l’environnement.

L’argument le plus convaincant que je peux avancer pour solliciter votre constant soutien est que l’ITC est rentable ; que sa mobilisation pour aligner intégralement ses interventions aux besoins nationaux et régionaux, innover en permanence, s’adapter, tirer des enseignements de l'expérience, étendre ses partenariats, et même jouer pleinement son rôle dans les partenariats Une-ONU sur le terrain ; porte des fruits et que les retombées de cette mobilisation sont très visibles.

Voilà le cap que j’entends garder au moment de la formulation de notre prochain plan stratégique 2018 - 2021, pour lequel vos contributions seraient bienvenues.

Pour terminer, qu’il me soit permis de remercier l’ensemble du personnel de l’ITC pour son dévouement et son acharnement au travail, et, tout particulièrement l’équipe des responsables principaux, à la tête de laquelle est la Directrice adjointe Dorothy Tembo. L’ITC n'aurait pas pu créer d’impact commercial pour le bien de tous sans ces personnes.

Le Secrétaire Général des Nations Unies Antonio Guterres a déclaré, il y a quelques jours, que « Notre soutien aux pays doit concourir à la création d’emplois décents et d’ouvertures d’entrepreneuriat, en particulier pour les jeunes, et accroître la participation des femmes à la vie active, tout en donnant aux populations les moyens de décider de leur avenir ». Le mandat de l’ITC est en droite ligne avec cet objectif. Et c’est précisément cet objectif que nous entendons atteindre en 2017.

Merci pour votre attention.